Résumé : Faire payer les riches ! Cette promesse électorale a contribué au succés de François Mitterrand et de ses partisans en 1981. Face aux puissances de l'argent le nouveau locataire de l'Elysée propose un seul mot d'ordre : rupture ! Du capitalisme il ne veut connaître que les turpitudes d'une...Faire payer les riches ! Cette promesse électorale a contribué au succés de François Mitterrand et de ses partisans en 1981. Face aux puissances de l'argent le nouveau locataire de l'Elysée propose un seul mot d'ordre : rupture ! Du capitalisme il ne veut connaître que les turpitudes d'une poignée de dirigeants prêts à tout pour conserver le pouvoir. Mitterrand ne professe-t-il pas le plus profond mépris pour cet Etat-Giscard symbole, à ses yeux, des dérives du fric ? Mais tout bascule très vite. Les mythes se dissolvent dans les réalités économiques et financières. Ce livre est le récit de onze journées symboliques, celles qui ont conduit François Mitterrand et les socialistes des nationalisations aux privatisations, de la relance de franc fort et de la glorification de la morale à la litanie des scandales. L'auteur, a suivi dans le détail cette lente découverte des mécanismes de l'économie contemporaine par le président de la République et ses partisans. Son récit, truffé d'anecdotes et de révélations, témoigne que les années 80 resteront dans l'histoire comme marquées par l'argent facile et la spéculation. Les petits et les grands secrets de la France du fric.
Résumé : Les objectifs lyriques fixés par le président élu en 1981 sont-ils atteints en 1993 ? La France a moins pesé sur les événements qu'elle n'a été transformée par eux. En dépit d'indéniables avancées sociales, les inégalités se sont accrues et, parmi elles, la plus grave de toutes, le...Les objectifs lyriques fixés par le président élu en 1981 sont-ils atteints en 1993 ? La France a moins pesé sur les événements qu'elle n'a été transformée par eux. En dépit d'indéniables avancées sociales, les inégalités se sont accrues et, parmi elles, la plus grave de toutes, le chômage. La fin de l'indexation des salaires sur les prix a complétement modifié les règles du jeu de la négociation sociale. La réhabilitation de l'entreprise et du profit fait figure de révolution mentale. La modernisation de la place financièe de Paris, les gains considérables des possesseurs de capitaux donnent de le France l'image d'un pays de rentiers, loin du socialisme de l'offre cher à Pierre Bérégovoy. Le sérieux dans la gestion et l'accroissement de la compétitivité de l'économie, le rétablissement des grands équilibres sont les fruits innattendus d'un socialisme devenu exellent gestionnaire d'une économie de marché troublée. Le peuple de gauche ne se retrouve guère dans ce bilan, assombri encore par les scandales qui incitent plus à la morosité qu'au triomphalisme. Au total, François Mitterrand aura été un modernisateur d'un capitalisme qu'il aura tempéré. Qui l'eût cru en mai 1981 ? Ce dossier a été réalisé à partir d'articles de journalistes du Monde et retrace le vie économique des douze dernière années découpées en fonction de la durée des gouvernements Mauroy, Fabius, Chirac, Rocard, Cresson, Bérégovoy...
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OuvrageCroissance et spécialisation de l'agriculture française de 1962 à 1981
Résumé : La différenciation croissante des systèmes de production, résultant des transformations de l'agriculture, peut s'apprécier au niveau départemental à l'aide d'analyses typologiques. Ainsi la combinaison polyculture-élevage, autrefois dominante, évolue vers les grandes cultures quand les...La différenciation croissante des systèmes de production, résultant des transformations de l'agriculture, peut s'apprécier au niveau départemental à l'aide d'analyses typologiques. Ainsi la combinaison polyculture-élevage, autrefois dominante, évolue vers les grandes cultures quand les structures le permettent, ou vers le lait et le hors-sol quand le rapport hommeôterre est moins favorable. Les systèmes très spécialisés, comme la viticulture et les légumes-fruits, évoluent également. Sur la base de ces typologies, une analyse en termes de part des facteurs de production, ainsi que de productivité partielle et totale, est menée. Les résultats favorables des grandes cultures-céréales et des fruits-légumes sont mis en évidence.