Résumé : Articles du dossier : Tous acteurs, tous concernés. Fin d'un modèle et pratiques nouvelles. Une palette évolutive. Les territoires en actionsArticles du dossier : Tous acteurs, tous concernés. Fin d'un modèle et pratiques nouvelles. Une palette évolutive. Les territoires en actions
Résumé : Arpenter le paysage est une pratique au long cours pour Martin de la Soudière, une pratique qui engage le corps comme l'esprit : pour le scientifique c'est la rencontre avec le terrain, pour l'homme sensible une expérience existentielle et poétique. Entrerait-on en paysage comme on entre en...Arpenter le paysage est une pratique au long cours pour Martin de la Soudière, une pratique qui engage le corps comme l'esprit : pour le scientifique c'est la rencontre avec le terrain, pour l'homme sensible une expérience existentielle et poétique. Entrerait-on en paysage comme on entre en religion ? Comment un paysage, réel ou imaginé, connu ou fantasmé, nous devient-il intime ? Sa rencontre première avec les Pyrénées, à pied, à bicyclette ou à main nue, empoignant la roche, fait écho au geste d'autres acteurs et spécialistes qu'il convoque ici. Poètes, géographes, paysagistes, peintres, botanistes, mais aussi grimpeurs, militaires, cartographes, taupiers, bergers et autres promeneurs... tous écrivent, vivent, incarnent leur paysage. Reclus ou Vidal de La Blache côtoient Gracq et Pessoa. Ils habitent l'imaginaire de l'auteur, au même titre que les manuels d'escalades du XXe siècle ou les livres de géographie du jeune élève qu'il fut. Dans cette petite ethnologie du paysage, on se meut en barque, en train, on flâne, on dessine et on médite. Entrer en paysage est en somme un geste charnel, fécond pour la réflexion et l'imaginaire
Résumé : La 4ème de couverture indique : "Le changement propre au vivant fait désormais partie de notre idée du paysage ; sous les noms de transition, de mutation ou d’évolution, c’est toujours au renouvellement de ses formes visibles que l’on pense. Est-il meilleure image du passage du temps...La 4ème de couverture indique : "Le changement propre au vivant fait désormais partie de notre idée du paysage ; sous les noms de transition, de mutation ou d’évolution, c’est toujours au renouvellement de ses formes visibles que l’on pense. Est-il meilleure image du passage du temps que la vie matérielle des lieux qui nous entourent ? Leur transformation ne s’arrête pas à des enjeux de représentation : elle s’apparente, avec toute la charge d’inquiétude, de trouble et de rêverie que porte aussi le mot, au phénomène de la métamorphose. Ce numéro des Cahiers de l’École de Blois, associant des travaux de fin d’études à des contributions venues d’horizons multiples, propose un aperçu des changements qui reconfigurent les paysages et bouleversent nos habitudes de perception ; d’un même mouvement, il illustre la vitalité de la réflexion et de l’imagination créatrice qui répondent à cette recomposition permanente, pour mieux entrevoir le paysage qui vient".
Résumé : La 4ème de couverture indique : "Aujourd'hui la gestion des ressources naturelles, la propriété privée et l'usage collectif des biens, la construction et l'entretien du cadre de vie ou les formes alternatives d'organisation de la vie collective sont devenus des questions centrales dans le...La 4ème de couverture indique : "Aujourd'hui la gestion des ressources naturelles, la propriété privée et l'usage collectif des biens, la construction et l'entretien du cadre de vie ou les formes alternatives d'organisation de la vie collective sont devenus des questions centrales dans le débat public. Ces questions concernent également le paysage. Les paysages font-ils partie des biens communs ? Et en quoi peut-on considérer que les paysages jouent un rôle dans la fabrication collective du commun ? Telles sont les questions que Les Carnets du paysage ont décidé d'explorer dans ce numéro, dont l'ambition est à la fois de décrire des expériences de construction collective de communs, de clarifier les termes des discussions actuelles sur le commun, et de témoigner de plusieurs initiatives où les paysagistes ont été impliqués. Les enjeux sont considérables : notre hypothèse est que le paysage non seulement relève des biens communs, mais qu'il constitue en outre un élément décisif dans la reformulation d'une écologie politique".
Résumé : Si l’on en croit sa définition classique, le paysage appartient à l’ordre du visible : il "s’étend sous la vue", à l’intérieur ou à l’extérieur d’un cadre. Parler de paysage du dessous, c’est s’interroger sur les conditions non seulement de visibilité mais aussi...Si l’on en croit sa définition classique, le paysage appartient à l’ordre du visible : il "s’étend sous la vue", à l’intérieur ou à l’extérieur d’un cadre. Parler de paysage du dessous, c’est s’interroger sur les conditions non seulement de visibilité mais aussi d’existence du paysage. Pour le voir, il nous faut les imaginer et c’est ce que vont nous permettre les photographies, les dessins, les peintures, les gravures – dont ce numéro est richement pourvu – mais aussi les récits littéraires et les cartes géologiques. Même les représentations les plus fantaisistes sont à considérer pour nous faire comprendre comment nous habitons la Terre. Cet imaginaire-là est constitutif de notre façon d’habiter. Il en va ainsi de certains mythes, comme celui du Grand Silure au Japon qui a longtemps expliqué les tsunamis et les tremblements de terre. Mais on habite aussi véritablement sous terre : les troglodytes, les SDF dans les métros de New York ou de Paris, ou encore dans les sous-sols de Las Vegas (résumé auteurs)
Résumé : Concepteur, aménageur, promoteur... si les grandes figures inhérentes à la fabrication de projets urbains persistent, la manière de pratiquer ces métiers et, elle, en pleine évolution, sur le fond et sur la forme. Parce que les évolutions socialesdevancent la concrétisation du projet ;...Concepteur, aménageur, promoteur... si les grandes figures inhérentes à la fabrication de projets urbains persistent, la manière de pratiquer ces métiers et, elle, en pleine évolution, sur le fond et sur la forme. Parce que les évolutions socialesdevancent la concrétisation du projet ; parce que de nouveaux acteurs s'y intéressent ; parce que les moyens financiers pour faire la ville ont durablement diminué... Ce premier dossier de 2017, consacré à l'évolution de la mission et des missions des urbanistes, inaugure une série d'articles sur les pratiques professionnelles émergentes à chaque stade du projet, et sur le rôle qui est assigné aux différents intervenants, ou qu'ils s'assignent eux-mêmes. Il est constitué d'entretiens laissant une large place aux jeunes équipes, porteuses de méthodes nouvelles, parfois en rodage, et qui, si elles ne représentent pas toute la production urbaine, influencent de façon croissante les modes de faire (résumé auteurs)
Résumé : En premier lieu, ce mémoire cherche à définir et caractériser ce qu’est un schéma directeur d’aménagement paysager, en se penchant sur les évolutions et appropriations de cet outil par différents acteurs, dans le domaine de l’urbanisme comme du paysage. En second lieu, ce mémoire...En premier lieu, ce mémoire cherche à définir et caractériser ce qu’est un schéma directeur d’aménagement paysager, en se penchant sur les évolutions et appropriations de cet outil par différents acteurs, dans le domaine de l’urbanisme comme du paysage. En second lieu, ce mémoire analyse la méthode et les résultats obtenus lors de la création du schéma directeur d’aménagement paysager du domaine de Kernault. L’objectif est de comprendre en quoi cette étude répond à un manque de perspective du site, tout en développant sa cohérence historique, territoriale, environnementale, paysagère et fonctionnelle. Enfin, ce mémoire analyse la pertinence de cet outil par rapport au contexte de la demande, ainsi que ses forces et limites
Résumé : La ville de Nantes se fait appeler la « ville dans un jardin » depuis 2015. Ses espaces verts ont évolué suite à l’apparition des enjeux de biodiversité, de paysage et d’usages. En conséquence, le végétal est de plus en plus présent dans l’espace public et on peut parler d’un...La ville de Nantes se fait appeler la « ville dans un jardin » depuis 2015. Ses espaces verts ont évolué suite à l’apparition des enjeux de biodiversité, de paysage et d’usages. En conséquence, le végétal est de plus en plus présent dans l’espace public et on peut parler d’un basculement du végétal hors des jardins. Le végétal est diffus dans l’espace public et forme une trame qui doit répondre aux enjeux cités. Le service des espaces verts et ses acteurs de terrain interviennent au quotidien sur les sites publics, mais la traduction spatiale des enjeux, le « jardin de l’espace public », n’est en réalité pas toujours réalisée, car les gestionnaires du végétal public sont confrontés à un espace complexe, parfois incompris, différent du jardin et impliquant une multiplicité d’acteurs. L’objectif est donc de replacer les enjeux de « ville dans un jardin » à l’échelle locale et d’apporter de nouvelles réponses à un métier de jardinier qui a beaucoup évolué, afin de reconnecter l’étape de la gestion au projet de la « ville-jardin »
Résumé : Les nouvelles régions ont obligation de produire un nouveau schéma de planification, dénommé SRADDET, qui fusionnent plusieurs documents dont les SRCE, ce qui posent question de la cohérence inter-régionale de ces documents. Les SRCE ont peu souvent pris en compte la dimension du paysage...Les nouvelles régions ont obligation de produire un nouveau schéma de planification, dénommé SRADDET, qui fusionnent plusieurs documents dont les SRCE, ce qui posent question de la cohérence inter-régionale de ces documents. Les SRCE ont peu souvent pris en compte la dimension du paysage lors de leur élaboration alors que la TVB se base sur les caractéristiques et l’agencement dans l’espace des structures paysagères, informations qu’il est possible de trouver dans les outils de connaissance des paysages tels que les atlas de paysage. De plus, le dialogue entre paysagistes et écologues semble complexe à mettre en place alors que leurs préoccupations sont semblables. Si de prime abord, les SRCE et les OCP sont différents de par leur rôle et leur contexte de création, ils sont cohérents et complémentaires dans leurs données, leur objectif et leurs enjeux, même de part et d’autre d’une ancienne limite régionale. Il est également possible de les utiliser conjointement lors de l’élaboration d’un projet d’aménagement, et ce de l’échelle territoriale jusqu’à l’échelle de la parcelle prouvant alors que le paysagiste et l’écologue peuvent travailler dans une même dynamique
MémoireLa coordination du projet de paysage : le rôle du paysagiste concepteur en tant que maître d’oeuvre . Juillard, Fanny - Mémoire d'Ingénieur Agrocampus-Ouest : Maîtrise d'Oeuvre et Ingénierie (MOI) . Agrocampus ouest - Centre d'Angers . 2017 . 1 vol. (40 p. + annexes) ( Diffusion : TOTALE )
Résumé : Le paysage est le résultat d'une somme de facteurs divers, et le paysagiste concepteur dans ses missions de maîtrise d'oeuvre doit en tenir compte, ainsi que de leurs interactions. L'approche transdisciplinaire se révèle particulièrement appropriée : En tant que maître d'oeuvre, le...Le paysage est le résultat d'une somme de facteurs divers, et le paysagiste concepteur dans ses missions de maîtrise d'oeuvre doit en tenir compte, ainsi que de leurs interactions. L'approche transdisciplinaire se révèle particulièrement appropriée : En tant que maître d'oeuvre, le paysagiste concepteur se trouve au centre de ces échanges : Il lui faut assurer une communication entre des disciplines variées et en retirer les éléments nécessaires à la concrétisation du projet, tant à court qu'à moyen terme. Non seulement le MOe joue un rôle central en ce qui concerne la récolte d'informations concernant le projet, mais il lui incombe aussi d'orchestrer les missions des différents acteurs, notamment en phase de réalisation. Dans cette mission de coordination il met à profit diverses méthodes de communication et de travail à sa disposition pour anticiper les situations problématiques et intervenir en cas de conflit en tant que conciliateur. Le rôle de coordinateur endossé par le MOe exige qu'il résolve ces problèmes avant de faire face à leurs conséquences: retards, baisse de qualité du projet, pénalités financières, procédures juridiques, mauvaise réputation des acteurs du projet. Pour prévenir ou corriger ces situations le MOe prendra en considération les acteurs impliqués et la nature des problèmes rencontrés. Le succès du projet et de la mission de maîtrise d'ceuvre repose sur la communication entre les acteurs et la capacité du MOe à coordonner ces échanges
Résumé : Aujourd’hui face à une demande croissante de la société dans l’aménagement et l’entretien des espaces verts dans les espaces urbanisés, la filière du paysage a vu son nombre d’entreprises croitre considérablement ces 15 dernières années. Pour répondre aux grands enjeux actuels,...Aujourd’hui face à une demande croissante de la société dans l’aménagement et l’entretien des espaces verts dans les espaces urbanisés, la filière du paysage a vu son nombre d’entreprises croitre considérablement ces 15 dernières années. Pour répondre aux grands enjeux actuels, la filière opère à des changements de pratiques toujours dans le but d’améliorer le cadre de vie. En effet, de nouvelles méthodes suscitent un engouement particulier de la part de la société car elles s’inscrivent dans le principe de développement durable. Cependant face à la conjoncture actuelle des marchés, les entreprises de la filière rencontrent des difficultés, les prix sont à la baisse, les marges réduites et la concurrence serrée. Afin de rester compétitif, les entreprises sont dans l’obligation d’avoir une gestion et une organisation dite de qualité et également de se tourner vers des procédés respectueux de l’environnement. Dans un tel contexte, Atlantic Paysages, entreprise de 40 salariés basée sur Auray et spécialisée dans la création et l’entretien d’espaces verts, a souhaité s’interroger sur sa gestion des chantiers d’entretien. Tout d’abord, ce mémoire introduit l’entreprise ainsi que le contexte dans lequel elle évolue. Suite à cela, une analyse de la gestion des chantiers d’entretien est réalisée sur la base d’atouts et de faiblesses. Cette analyse est une remise en cause du mode de fonctionnement adopté par l’entreprise et définit des enjeux. Ces derniers sont la source de nouvelles solutions d’amélioration du mécanisme de gestion en place. De nouveaux outils et de nouvelles actions peuvent être ainsi mis en place en vue d’avoir une gestion de qualité, qui elle-même est un levier d’action pour conforter l’attractivité de l’entreprise et se démarquer